vendredi 22 avril 2016

L’homme en guerre contre lui-même!





L’homme se détruit et en même temps détruit son habitat. Tout n’est plus comme avant. Nous vivons une effervescence mondiale dramatique et aveuglante qui précipite inéluctablement notre descente aux enfers. La peur est là, et pourtant on a beau prendre des mesures pour échapper au pire: bouclé les aéroports, fouillé les gens jusqu’aux os, assiégé, protégé, renforcé, créé des systèmes sophistiqués pour prévenir le terrorisme et les crimes, le problème reste ailleurs, car tant que les consciences sont manipulées, transfigurées, l'homme qui en naîtra ne sera qu'une amibe qui a tendance à se phagocyter et à phagocyter ce qui l'entoure. C’est le suicide collectif.

dimanche 17 avril 2016

L'homme: vers son suicide collectif

    






Le suicide collectif de l'homme est malheureusement une réalité que chacun prétend ne pas voir. Cette effervescence mondiale dramatique et aveuglante précipite inéluctablement notre descente aux enfers. On a beau prendre des mesures pour éviter le pire,  bouclé les aéroports, fouillé les gens jusq'aux os, assiégé, protégé, renforcé, créé des systèmes sophistiqués pour prévenir le terrorisme et les crimes, le problème reste ailleurs, car tant que les consciences sont manipulées, transfigurées, l'homme qui en naîtra ne sera qu'une amibe qui a tendance à se phagocyter et à phagocyter ce qui l'entoure.

Quand je parle de suicide collectif, je ne parle pas seulement de ceux qui se font exploser ou tuer au nom d'une quelconque religion, secte ou croyance, je parle surtout de cette autodestruction vertigineuse qui entraîne l'homme dans sa spirale, celle qui s'empare des consciences éveillées ou endormies et les projette dans un enfer sans limites. Une étude de l'Université Simon Fraser de Vancouver publiée dans la revue Nature intitulée «Approaching a state-shift in Earth's biosphere» montrerait qu'«un effondrement total de la planète se produirait d'ici la fin du siècle». Cette étude menée par des scientifiques fait état de la «dégradation générale de la nature et des écocystèmes, les fluctuations climatiques de plus en plus en plus extrêmes et le changement radical énergétique global.» Ces transformations sont décrites comme irréversibles.